– Demande systématique au préfet d’instituer un droit de préemption des surfaces agricoles situées dans tout ou partie des aires de captage d’eau potable pour la commune (Article L 218-1 du code de l’urbanisme) afin de développer une agriculture compatible avec la préservation de la qualité de l’eau dans ces zones.
    – Engager des actions fortes de sauvegarde des espaces de biodiversité et des zones humides, comme la conservation / restauration des barrières naturelles face aux pesticides : haies, talus.
    – Rappeler et affirmer dans les instances où siègent nos élus notre volonté d’arrêter les pesticides de synthèse (SDAGE par exemple)